Arrivé de Emika

Çelà faisait des heures que j'étais dans un taxi. Tout ça pour aller dans un pensionnat. *J'espère qu'il sera cool, et remplie de gens ^_^* Puisque je suis tout sauf ignorante, je n'es pas fais exception pour le chauffeur de taxi. Je lui est parlé pendant tooout le trajet, pour que personne ne s'ennuie. Par contre, à un moment, il semblait vraiment énervé! [Nous suposons que si Emika aurait eu un moins long trajet, sa aurait fait moins d'argent, alors il l'aurait jétée dehors..] Finalement, quand nous sommes arrivés, le chauffeur de taxi avait un large sourire, il m'aimait p'têtre-bien finalement =D ! J'ai donnée l'argent et j'ai avant de refermer la portière:
-Merci! J'espère qu'on se reverras!
-Pfff..
Puis je suis rentré. L'établissement était supeer! Je suis rentrée, il n'y avait personne. Je regarda aux alentours, vraiment personne!
- Youhou! Il y a quelqu'un?
Aucun bruit.
-Hého! C'est comme sa que vous acceuiller les nouveaux venus?!!?
J'émit un bruit qui faisait resentir la frustration. Je posai mes valises contre le mur, et marcha un peu. J'entendis un petit bruit. Je me retourna brusquement. Mes cheveux noir virevoltèrent et je cligna légèrement des yeux. Ah! Personne encore. Puisque je commençais à m'énerver, je repris mes valises et resortie dehors. C'était vide, mais j'entendais des voix. Je marchait le long du mur de brique, et vus une bande d'ados traîner, et quelques autres jeunes ci et là! *ooh! C'était donc là qu'ils se trouvaient!* J'affichai un sourire sur mon visage. Alors que je passais près d'une bande pour aller les saluer et me présenter, je m'enfargea le pied dans une racine d'arbre. Je fis un petit cri strident. Je tomba sur le ventre, m'écorcha les deux mains et pris une tonne de poussière dans le visage. Je perdis mon soulier également. Tout les gens autour se retournairent vers moi et éclatèrent de rire en me pointant de doigt. Les larmes me vainrent aux yeux, à cause de la poussière,..(et peut-être un peu à cause de l'embarras,mais je ne le dirais jamais!)...Une petite bande me criait des insultes,alors que les autres riaient. Je me releva un peu, et m'assis sur mes genoux. J'essuya du revers de la main mes larmes, et épousseta mes bagages. Alors que la moitié était retourné à leurs occupation (appart la gang qui riait encore de moi) je sentis une main se poser sur mon épaule. Je me retourna, je ne vis pas tout de suite la personne, je ne disèrnait même pas si c'était une fille ou un gars. Par contre, la personne me tendait mon souliers, en m'épousotant...

Ailisa avait trouvé un coin tranquille où s'installer avec sa saccoche. Le point de vue sur l'établissement était pas mal et la lumière était idéale à cette heure de la journée. Elle pouvait voir quelques bandes d'élèves trainer mais eux ne faisaient pas attention à elle. Elle ouvrit donc sa saccoche et en sortit son carnet à dessin et son fusain. Elle entreprit de dessiner le pensionnat Takahashi lorsque quelque chose l'alerta. Ailisa aperçu une fille en plein milieux de la cour qui criait pour savoir si quelqu'un se trouvait dans les parages. L'Irlandaise réouvrit sa saccoche pour ranger ses affaires mais sa boite à fusains en métal tomba au sol et le bruit ne manqua pas d'alerter la nouvelle. Ailisa retint son souffle, se fit toute petite et attendit que celle ci se détourne. La nouvelle aux allures légèrement sombre ne la remarqua pas et sortit de l'établissement. Ailisa avait un peu plus tôt remarqué que le mur d'enceinte était plus bas à un endroit et c'est par là qu'elle passa pour continuer d'observer la nouvelle.

Une fois le mur passé, l'Irlandaise se retrouva à quelques mètres derrière la jeune fille qui se dirigeait à présent vers un groupe d'ados. Mais celle ci commit la lamentable erreur de s'étaller de tout son long devant eux, ce qui eut pour effet d'attirer sur elle rires, moqueries et insultes. Ailisa allait tout simplement retourner a ses occupations quand elle remarqua que la nouvelle avait perdu sa chaussure. Laissant de côté ses angoisses pour un instant, elle ramassa le soulier et l'apporta vers la jeune fille. Ailisa fit même le suprême effort de toucher son épaule du bout des doigts. La jeune fille se retourna vers elle et Ailisa recula d'un pas en demandant d'une voix douce :

- As-tu mal ?

Elle me demanda si javais mal. Je lui montra mes mains, qui avaient quelques égratignures, et qui chauffaient un peu. Je haussa les épaules.
-Sa peut aller, ce n'est rien!
Puis, moi, petite écervellée, me réveilla et pris ma chaussure. Je la tourna pour enlever la poussière dedans. Je leva la jambre pour mettre mon soulier, quand j'eu une douleur soudaine à la cheville. Je m'empressa de prendre celle-ci dans mes mains, et fermant le yeux fort.
-Aïe!
Je bougea un peu la cheville et grimaça.
-Je crois que je me la suis foullée!
Je l'observa, lui jetant un regard noire. La fille semblait me dévisageait. Malgré, je la comprend, car une fille qui lance un regard noir à sa cheville, ça c'est un peu..Con..Je m'appuya contre l'arbre (ce petit méchant) et me releva. La petite troupe de tantôt nous surveillait encore. Ils me jetèrent des regards noirs. Un me fit signe de venir. Alors que je m'avançais vers eux, la fille me pris brusquement par l'épaule.
-Fais pas ça! Ce sont des brutes.
Je me retourna de bord en boitant.
-Dis,..Tu peux m'aider à trouver ma chambre? Et à marcher..aussi..X_X

[Je sais, j'ai encore un peu décider..Mais là >_______<' Sa fais-tu pareil?]

/!\ Avertissement /!\


Emika, tu ne dois pas agir pour les autres et décider pour eux de ce que font LEURS personnages. Tu as pris trop de libertés vis-à-vis D'Ailisa O'Kelly. Retape ton post STP

[C'est bon on continue ]

La fille avait des écorchures aux mains, et la cheville foulée visiblement. Elle aurait pu avoir pire mais c'est vrai que ce n'était pas l'idéal pour un premier jour dans un pensionnat. Elle paraissait fâchée contre... sa propre cheville. Etrange fille, comme si une partie de son propre corps pouvait y être pour quelque chose... Ailisa la vit se relever difficilement en s'appuyant contre l'arbre qui l'avait fait tomber et regarda la bande qui s'était moquée d'elle tout à l'heure. Ces derniers faisaient des signes pour qu'elle vienne mais leurs regards en disaient long sur leurs intentions... Et cette inconsciente commença à ce diriger vers eux. Par réflexe, Ailisa lui attrappa furtivement l'épaule :

-Fais pas ça! Ce sont des brutes.

La jeune fille se retourna donc vers elle et lui demanda :

-Dis,..Tu peux m'aider à trouver ma chambre? Et à marcher..aussi..X_X

Là, c'était peut-être trop demandé à la petite Irlandaise qui attrappa tout de même sa valise et qui répondit :

- Je porterais ta valise, et je t'amènerais au dortoir, mais débrouille toi pour marcher, je ne supporte pas de toucher les gens.

Elle sembla légèrement irritée par ma demande.
- Je porterais ta valise, et je t'amènerais au dortoir, mais débrouille toi pour marcher, je ne supporte pas de toucher les gens.
Je fis signe de la tête. Normalement, j'aurais riposter, mais cette fois, je préfèrais me taire (Sortez le champagne!). Par contre,mon énorme curiositée,elle, voulait savoir pourquoi la fille aimait pas toucher des gens! C'est cool des gens,pourtant..Enfin..je trouve...Bref! Mais comme je sentais que cette question allait dégringoler, je préférai y aller légèrement. Ah tiens! Je ne savais pas encore son nom! Puis de toutes manières, elle portait déjà ma valise, et m'amenait au dortoir! Je poserais cette question quand je serais plus proche d'elle..Car comme ça,j'ai l'air d'une pauvre imbécile, mais si on apprend à m'aprécier, je deviens beaucoup moins achalante.

-Au fait..On s'est pas encore présentez! Emika, et toi?

Je lui tendis la main, elle la regarda. Ah oui..Bon.Je retira brusquement ma main. * C'est vraiment intense son truc là!*

La jeune fille semblait... comment dire? Intriguée par le comportement d'Ailisa à l'égard des gens. La jeune Irlandaise n'y pouvait rien si elle avait subit un grave traumatisme. D'après le psychologue, JAMAIS elle n'aurait un comportement tout à fait normal... La fille semblait pourtant curieuse, elle voudrait sans doute savoir pourquoi, et Ailisa n'avait pas encore décidé si elle lui en parlerait ou non... Mais l'adolescente décida de poser une autre question d'abord :

-Au fait..On s'est pas encore présentez! Emika, et toi?

Cette Emika tendit la main, pour la saluer, et Ailisa regarda la main avec appréhension. Mais heureusement, Emika se rétracta. Ailisa soupira et répondit :

- Ailisa. Enchantée.

Tout en parlant, les deux jeunes fille étaient arrivées lentement mais surement au secrétariat, devant lequel Ailisa déposa un instant les bagages de la fille.

- Tu dois aller te renseigner pour ta chambre.

Elle se présenta, Ailisa, et nous marchions jusqu'au secrétariat. J'avais, pendant le temps qu'on parlait, essayer tant bien que mal d'éviter la question. Quand nous sommes arrivées, Ailisa déposa mes bagages devant le sécrétariat et dit:

-Tu dois aller te renseigner pour ta chambre.

Je hocha vivement la tête. Malgré son apparence de fille qui n'aimait pas le monde, elle était sympa, elle le cachait bien, mais elle était sympa! Elle m'attendit sur le bord de la porte, moi, j'avança devant la secrétaire. Elle leva les yeux vers moi:

-Oh! Bonjour! Vous devez être Emika, non?

-En effet, c'est moi!

Elle me contempla de long en large.

-Vous savez mademoiselle, l'uniforme n'est pas obligatoire ici.

Cette phrase me frustra quelque peu, et je répondit sauvagement:

-Merci, mais je préfère le garder!

Elle fit de gros yeux, et redevint normal, faisant comme si de rien était.

-Bon, j'voudrais pas vous pressez M'dame, mais j'aimerais bien savoir ou est ma chambre!

-Ah..Bien sûr...C'est en haut, la chambre numéro 2. Vous êtes déjà avec deux autres personnes.

-La 2? D'accord, merci!

Je souris et repartie en direction de Ailisa, qui m'avait bien attendu.

-C'est chambre numéro 2!

Je fit un gros sourire, mais sans montrer les dents.

Emika entra dans le bureau de la secrétaire, conversa un instant, et ressortit un sourire aux lèvres :

-C'est chambre numéro 2!

Ailisa hocha la tête et reprit les deux valises. La numéro deux, c'est la chambre d'Evan, située juste en face de la sienne. La numéro 2 était réservée aux élèves ayant entre 16 et 18 ans. Au moins Ailisa avait une estimation de l'âge d'Emika. Elle se remit à marcher en direction des escaliers qui menaient à cette fameuse chambre, suivie de la jeune nouvelle, qui boitait légèrement à cause de sa cheville. Avant de commencer l'ascention des trois étages sans ascenseur, elle se retourna vers Emika :

- Ca va aller ? Il y a trois étages, tu vas avoir mal.

Ailisa regarda autour d'elle attentivement. Personne n'était dans les parages pour aider la nouvelle. Elle devrait se débrouiller seule jusqu'à là haut.

Elle hocha la tête et repris mes valises. Elle se dirigea vers les escaliers, suivit de moi qui boitait en arrière à cause de ma cheville. Elle était encore douloureuse, mais sa pouvait aller. Ailisa s'arrêta devant les escaliers. Il semblait y avoir trois étages. Ouï! Elle se retourna vers moi et dit:

- Ca va aller ? Il y a trois étages, tu vas avoir mal.

Elle regarda autour d'elle comme si elle cherchais quelque chose..Ou quelqu'un!

- M'ouais..J'ferais un effort.

Je me frotta légèrement la tête. Ailisa repris la marche dans les escaliers. Je la suivit avec difficultée. Elle s'arrêta sur la plate-forme qui séparait les étages et les escaliers pour m'attendre. Quand j'arrivai, mon visage se crispa de douleur. Je me baissai pour prendre ma cheville dans les mains. Ailisa me regarda. Elle semblait ne pas savoir quoi faire.

-Elle n'est pas foullé mer*e..Elle est carrément cassée.

Je fit une pause pour masser ma cheville.

- Tout ça à cause d'une stupide racine..

Malgré ses efforts, Emika ne pouvait plus monter. Ailisa savait très bien ce que c'était d'être submergé par la douleur, mais pour une cheville cassée, alors qu'elles étaient à mi-chemin... Ailisa soupira et regarda à nouveau Emika, très occupée à râler contre la racine. La petite Irlandaise parcoura la cage d'escalier des yeux lorsqu'elle aperçu ce qu'elle cherchait : le placard des femmes de ménage. Elle se dirigea vers lui, sortit de sa poche un porte clefs munit de deux pointes en acier pour forcer les cadenas. En quelques secondes, celui qui maintenait la porte fermée sauta et Ailisa sortit un manche à balai de ce réduit. Elle le tendit à Emika :

- Tiens, prends ça pour t'appuyer. Maintenant, décides : on continue ou on fait demi-tour?

Il est bien évident que si Emika décidait de continuer, Ailisa contacterait les secours une fois là haut. Si elle décidait de rebrousser chemin, l'Irlandaise la laisserait se débrouiller avec la secrétaire qui appelerait l'infirmière ou les pompiers si nécessaire. Ailisa ajouta :

- Encore quelques minutes et tu ne pourras plus du tout t'appuyer sur ta jambe, décides maintenant.

Ailisa..Elle avait forcer le cadena d'un placard et avait sortit un balai pour que je m'appuie dessus. Elle me demanda si je voulais continuer ou faire demi-tour. Elle me rapella aussi que je ne tiendrais plus longtemps debout si je continue. Je réfléchis un instant.

-Raah..J'vais pas m'arrêter pour une stupide jambe, avec un plâtre ou non, qu'est-ce que sa change hein!?

Évidemment..sa changeais quelque chose. Si je continuais, il y aurais une infection et sa aurait empiré.

-....Bon sa va. Je vais à l'infirmerie...Mais euh, j'pourrais quand même sortir après,hein!? Parce que j'veux pas rester plantée dans un lit d'infirmerie de m*rde moi..Je veux sortiiiireeee >.< Alors dis-moi si je vais rester planté dans l'infirmerie ou non. Parce que si oui, bah j'y vais pas..

Ailisa semblait me dévisageais. Bon, j'y avais été un peu brusquement, et avec une voix de bébé en plus, mais bon. Moi je voulais rester coincé dans une chaise roulante le premier jour hein! Puis j'ai mes cours de premiers soins. Un bandage bien maintenut, une certaine pression, un peu d'alcool pour désinfecter, et voilà! Si elle est vraiment cassé, on verras, mais sinon, je suis capable. Alors que Ailisa s'aprêtais à répondre, moi, je continuais de monter les escaliers,finalement. Je vais vérifiez vraiment, de moi-même!

[PV Entrée Terminée]